Plongeons dans l’univers cinématographique passionnant d’« En attendant Bojangles », une adaptation du best-seller d’Olivier Bourdeaut. Ce film, qui nous transporte dans les années 1950-1960, a su captiver les spectateurs par son histoire d’amour hors du commun. Mais savez-vous où ce chef-d’œuvre a été tourné ?
Embarquons pour un voyage à travers les lieux qui ont servi de toile de fond à cette œuvre mêlant amour, plaisir et fantaisie.
En bref :
Points clés | Détails |
---|---|
🎬 Synopsis du film | Adaptation du roman d’Olivier Bourdeaut, histoire d’amour atypique se déroulant dans les années 1950-1960 |
🏖️ Lieux de tournage | Tourner principalement sur la Côte d’Azur, en Île-de-France et en Italie |
🏨 Décor emblématique | Transformer l’hôtel Belles-Rives à Juan-les-Pins en hôtel monégasque des années 50 |
💃 Importance de la danse | Faire appel à des chorégraphes renommés pour créer des scènes de danse mémorables |
🎭 Défis de production | Recréer minutieusement l’ambiance des années 1950-1960 à travers costumes, décors et accessoires |
📅 Durée du tournage | Commencer le 14 janvier 2020 et terminer le 13 mars 2020, juste avant la pandémie |
Sommaire :
Les lieux de tournage principaux : entre Côte d’Azur et Italie
Le tournage d' »En attendant Bojangles » s’est déroulé dans plusieurs endroits pittoresques, offrant un cadre idyllique à cette histoire d’amour hors du commun. Les principales locations incluent :
- Juan-les-Pins
- Nice
- Mandelieu-La Napoule
- Paris et la région Île-de-France
- Bordighera en Italie
- Saint-Maurice (Val-de-Marne)
L’hôtel Belles-Rives à Juan-les-Pins a joué un rôle central dans le film. Cet établissement emblématique a été transformé pour ressembler à un hôtel monégasque des années 1950. Les équipes de production ont travaillé d’arrache-pied pour recréer l’ambiance de l’époque, notamment en modifiant le célèbre bar Fitzgerald.
Le tournage à Juan-les-Pins a nécessité la fermeture temporaire du boulevard Baudoin, créant une effervescence locale digne d’un film de Woody Allen. Pendant environ quatre jours, plus d’une centaine de figurants ont investi les lieux, donnant vie à cette fresque cinématographique captivante.
Un film où l’on danse : l’art de la chorégraphie au cœur du projet
L’une des caractéristiques marquantes d' »En attendant Bojangles » est l’importance accordée à la danse. Pour insuffler une nouvelle dynamique créative à ces scènes, la production a fait appel à des chorégraphes renommés comme Marion Motin. Leur expertise a permis de créer des moments de grâce et de poésie, rappelant l’élégance des films cultes de Tarantino.
Les scènes de danse, tournées principalement à l’hôtel Belles-Rives, ont nécessité une préparation minutieuse. Les acteurs, Romain Duris et Virginie Efira en tête, ont dû s’immerger dans l’univers chorégraphique pour incarner leurs personnages avec justesse. Cette attention portée au mouvement et à l’expression corporelle ajoute une dimension supplémentaire à l’œuvre, la rendant encore plus immersive.
Lieu de tournage | Durée approximative | Particularités |
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Juan-les-Pins | 4 jours | Transformation de l’hôtel Belles-Rives |
Paris et Île-de-France | Plusieurs semaines | Début du tournage le 14 janvier 2020 |
Saint-Maurice | Quelques jours | Scènes dans les hôpitaux de la ville |
Les défis d’un tournage d’époque
Recréer l’ambiance des années 1950-1960 a représenté un véritable défi pour l’équipe de production. Chaque détail a été soigneusement étudié pour garantir l’authenticité du film. Des costumes aux décors, en passant par les accessoires, tout a été pensé pour transporter le spectateur dans cette époque séduisante.
La transformation de l’hôtel Belles-Rives est un parfait exemple de ce travail minutieux. Les décorateurs ont dû repenser entièrement l’intérieur de l’établissement, notamment le bar Fitzgerald, pour coller à l’esthétique de l’époque. Ce souci du détail rappelle l’approche des grands films d’animation comme Moi, moche et méchant, où chaque élément visuel est pensé pour créer un univers cohérent et immersif.
Le tournage s’est terminé le 13 mars 2020, juste avant que la pandémie ne bouleverse le monde du cinéma. Cette date marque la fin d’une aventure cinématographique unique, où chaque lieu de tournage a contribué à donner vie à l’histoire d’amour passionnée et fantasque imaginée par Olivier Bourdeaut.
En tant que visionnaire numérique, je ne peux m’empêcher de penser aux possibilités offertes par les nouvelles technologies pour enrichir encore davantage l’expérience cinématographique. Imaginez un instant pouvoir explorer virtuellement les lieux de tournage d' »En attendant Bojangles », plonger dans l’ambiance des années 50 à travers votre écran, ou même apprendre les chorégraphies du film via une application interactive. Le cinéma de demain pourrait bien offrir ces ponts intéressants entre l’art traditionnel du film et les innovations numériques, ouvrant ainsi de nouveaux horizons créatifs pour les générations futures.